Sarah Izumi
Avril 2019, en ville.
Sarah Izumi n'était pas une orpheline, mais si vous saviez à quel point elle aurait voulu l'être. Son manque d'enthousiasme à la vie faisait d'elle une fille très solitaire et rejeté des autres. Peut-être que si elle avait été orpheline, la vie aurait été plus belle avec des parents plus compréhensifs et attentionnés. Mais il n'y avait pas que ça qui la frustrait
! Il y avait aussi la terre qui, peu à peu, se construisait un avenir dans le gouffre de l'abîme. Pour elle, chaque fois qu'un enfant venait au monde, il venait de se jeter dans la gueule du loup.
***
Cette-nuit là, il pleuvait à boire debout.
Les lampadaires qui venait de s'allumer, éclairaient les froides nuits de Montréal pour que les rares passants et les oiseaux de nuit* retrouve leur chemin dans les dédales de la ville. Sarah revenait de l'épicerie du coin. Elle espérait que les quelques pommes, patates et tomate pourraient combler les carences* de sa pauvre alimentation. Rendue chez elle, elle se fit vite à manger
et partie se coucher dans un lit dont elle aurait aimé trouver chaleur et réconfort. Mais, il en fallait bien plus à Sarah pour lui remonter le moral. Mais, elle finit s'endormit.
***
La mère d'Izumi, saoule, comme à son habitude, écoutais la télévision, à moitié endormit sur le canapé de cuir noir du salon. Son père n'était pas encore arrivé, comme toujours, il était aux danseuses, regardant de jeunes lycéennes dévergondées se pavanant à moitié nue devant des hommes ou des femmes en manque. Il arriva
au alentour de deux heures du matin. Sans dire un mot, il plaça son manteau dans la penderie située dans l'entrée menant au petit salon. Il déposa ses clefs sur la table de la cuisine et se coucha dans le
futon près du sofa. Un peu plus tard, tout le monde trouva le sommeil. Mais, pas pour longtemps, Sarah fut arracher de son sommeil par des bruits de pas lourd et incessant. Terrifier par ces bruits, Sarah
prit le couteau qui se trouvait dans le deuxième tiroir de sa commode en bois. Elle le
serra au creux de sa main et pria très fort.
Se n'est pas qu'elle croyait particulièrement en Dieu, mais
quelques fois, elle avait besoin de se rassurer mentalement. Puis d'un bon de folie et de courage, elle descendit à pas feutrée les escaliers menant au petit salon. Il n'y avait personnes, seulement sa mère, endormit sur le sofa et son père assoupit sur le
futon, la télévision toujours ouverte. Avant de retourner dans sa chambre, elle ferma la télévision.
Juste au moment de retourner à sa chambre, la porte d'entrée éclata en milles morceaux. Sarah, qui était au mauvais endroit au mauvais moment, reçut un bout de bois pointus qui lui transperça la main
droite. Elle tomba sur le sol et poussa un cri de douleur. Lorsque, péniblement, elle réussit à se retourner vers la porte, elle vit deux hommes bâtis et chauve munie de grosses chaînes noires. Sarah voulut recommencer à
crier mais elle avait si
peur qu'elle en fut était incapable. Les deux parents terroriser n'arrivèrent pas à bouger, paralyser par la peur.
*
Un homme propre et bien habillé sortie de la voiture
qui c'était garé devant la maison à peine cinq minutes après
l'arriver de son père. Il entra par le trou béant où pendait encore quelque relique de la porte. L'homme s'approcha de Sarah, se baissa à son niveau et lui dit d'une voix froide :
- Oh
! Ma chère Sarah, tes beaux yeux bleus et tes longs cheveux blonds n'ont pas changé depuis le temps. Je sais que tu ne me
connais pas, enfin, que tu ne me reconnais
pas mais bon, ne rentrons pas dans les détails inutiles...
Inutile avait-il dit. Sarah connaissait un homme avec
des compagnons sauvage sans le savoir et il dit que
sais des détails inutiles
! Elle
comprit par ces propos, qu'elle avait affaire à
un malade.-Il y a un an de cela, continua l'homme, en 2018, le gouvernement
à mis au point une ligue de chasseur de primes expérimenter pour combattre avec eux les vols, meurtres, viols et toutes autres atrocités du même genre, qui augmente de 3% par année. Et toi tu feras partie de cette ligue
en...
L'homme n'eut pas le temps de finir sa
phrase car, le père de Sarah lui avait sans gène couper la parole. D'un ton dur et sec, il prononça c'est quelques mots :
-
Qui êtes vous, lâchez ma fille
!L'homme perdu son sourire.
-Oh
! Mais je n'ai pas touché votre fille. Répliqua celui-ci.
D'un regard percent, il fit un signe à l'un de ses hommes. L'homme chauve en question ne
prit pas le temps de laisser le père reculer. Il avait sorti de sa poche un petit poignard qu'il lança entre les deux yeux du père, qui tomba aussitôt mort sur le sol.
-Père
! Cria péniblement Sarah en pleure.
-On ne me coupe jamais la parole. Rétorqua l'homme en regardant le corps inerte du père à Sarah.
Sarah qui ne souciait point de l'homme qui avait tué son père, s'approcha silencieusement du cadavre. Elle
prit la tête entre ses mains, retira le couteau et embrassa son père sur la joue, qui, pour elle, était un geste d'adieu tendre et sincère. Une larme coulèrent sur
sa joue. Elle était si
triste qu'elle en avait oublié la douleur de sa
blessure a la main. Puis les dents serrées se retourna vers l'homme.
-Que me voulez-vous ?
-Oh
! Mais c'est simple, répliqua
t'il, je
veux que [url=http://lepatron.tapor.ualberta.ca/#]tu travaille pour nous.
-Si j'accepte, vous laisserez ma mère.
-Oui, répondit simplement le jeune homme.
Sarah arracha le bout de bois enfoncer dans sa main et d'un bond le planta dans le cou du meurtrier. Elle le fit si vite qu'il n'eut même pas le temps de riposter. Le sang gicla sur le mur jaune. Sa mère qui jusqu'à la n'avait pas bougée d'un pouce c'était lever pour aussitôt s'évanouir par terre à la vue du sang. L'homme chauve tira par les cheveux la femme dehors et la laissa près de la voiture devant la maison et il revient près de son maître. Le jeune homme
prit un passement qu'il avait sorti de sa poche et le m'
y autour de
la main blesser de la jeune fille. Sarah se laissa faire et grimaça de douleur.
-Maintenant tu vas me suivre, dit-il. Puis il dit au chauve :
-Vous pouvez prendre plaisir avec la femme
! Le chauve ne se fit pas prier.
Il sortit précipitamment à l'extérieur de la maison et sans gène enleva avec envie son pantalon brun et déshabilla la jeune femme presque inerte sur le sol... Dans la maison, on pouvait l'entendre jouir bruyamment.
La jeune fille était en colère et cria.
-Vous mentez, vous m'
avez jurez que vous la laisseriez tranquille
!-Je ne t'ai jamais rien promis. Je ne la tuerais pas tout simplement.
Sarah
ne pus répliquer, il avait raison et elle le
savait mais pourtant, elle trouvait quand même, que cela ne devait pas lui faire
grand chose à sa mère, ivre mort et évanouie.
***
Un peu plus tard la police arriva sur les lieux. Des voisins avait été témoin du saccage dans la maison voisine.
Mais personnes n'avait
osé ce rapprocher de la maison et avec raison
! Mais lorsqu'il arriva, la jeune Sarah, l'homme et le
chauve étaient déjà partie, au loin en voiture. Les policiers retrouvèrent non sans difficulté, les corps inerte du chauve et du père dans le sous-sol. Puis il transporta la mère à l'hôpital. Heureusement pour elle, elle ne se souvenait de rien. Seulement qu'elle était dans une flaque de sperme et de sang lorsque la police arriva.
***
Le chauve se gara dans un stationnement près du parc La Fontaine. Ils
décendèrent tous les deux de la voiture, la fille fit de même. Ils marchèrent dans le parc silencieusement. Énerver par ce silence, Sarah
prit la parole :
-
Qui êtes vous
?-Je m'appelle
Lowen, et j'ai vingt et
un ans. Dit-il en se retournant vers la jeune Izumi.
La jeune fille remplit de haine continua.
-Comment se nomme cette ligue de
chass...
?-Chasseur de prime, continua
Lowen, on
[url=http://lepatron.tapor.ualberta.ca/#]les appelle[/url] The Blood
of Angel mais ils ne sont pas les seuls.
*Ils y en à d'autre en plus* Pensa la jeune Sarah
Ils continua[/url] leur marche jusqu'à une petite maison à côté du parc La Fontaine.
Ils ouvrit la porte et entra, à
l'intérieur se trouvais des boites de carton, des vases et des bouts de vitre qui traînaient sur le plancher de la maison.
-Voici mon repaire à l'abri des yeux indiscret.
-J'avais remarqué, répliqua la jeune fille.
-Sais ici que tu vas t'entraîner.
-M'entraîner à quoi
?-Au combat,
tu travaille pour le gouvernement maintenant l'aurais-tu oubliée. Vu que tu fais partie The Blood
of Angel tu dois être prête d'ici un an...
Sarah commença déjà à perdre patience, un an c'est si long...
***
Le lendemain Sarah fut entraîner sans relâche et contre
son grée. Elle n'avait que quelque pause par jour. Durant une longue année, elle
apprit le tir à l'arc, l'escrime, le karaté, la vitesse, la souplesse,
le combats aux poings. Mais aussi peu à peu sans sent rendre compte elle perdait ses sentiments. Elle ne ressentait plus aucune haine envers la personne
qui à tuer son père, ni
en vers celui qui l'avait demandé de le faire. Elle n'était jamais triste ni contente-elle était neutre. Un jour, le Jour de l'An, de l'année 2020,
Lowen reçut une enveloppe du chef de La ligue de chasseur de prime. Cette lettre fut remise à la jeune Izumi. :
Chère Izumi votre entraînement prend finalement fin aujourd'hui.
Vous faite dorénavant partie de la ligue des nettoyeurs (Chasseur de primes) The Blood
of Angel. Nous sommes fiers de vous
accueillire dans notre ligue
Chef de The Blood
of Angel
. Lut-elle.
Fier... cela la laissa plutôt indifférente.
-...